/0/10914/coverbig.jpg?v=2e8edb8658afcbee3d3b9b448d0ba389)
Diese Ausgabe wurde mit einem funktionalen Layout erstellt und sorgfältig formatiert. Aus dem Buch: "Wichtige Angelegenheiten hatten ihn nach Guadeloupe gerufen, wo seine Familie beträchtliche Güter besaß, und er war erst seit einem Monat aus den Kolonien zurück. Dieses Wiedersehen gewährte mir große Freude, denn wir hatten früher in enger Verbindung miteinander gestanden. Zweimal begegneten wir beim Hinundhergehen einem Menschen, der d'Hornoy jedesmal auf eine höchst auffällige Weise anschaute." Alexandre Dumas (1802-1870) war ein französischer Schriftsteller. Heute ist er vor allem durch seine zu Klassikern gewordenen Historienromane bekannt, etwa Die drei Musketiere und Der Graf von Monte Christo.
J'étais vers le mois de mai de 1835 à Toulon.
J'y habitais une petite bastide qu'un de mes amis avait mise à ma disposition.
Cette bastide était située à cinquante pas du fort Lamalgue, juste en face de la fameuse redoute qui vit, en 1793, surgir la fortune ailée de ce jeune officier d'artillerie qui fut d'abord le général Bonaparte, puis l'empereur Napoléon.
Je m'étais retiré là dans l'intention louable de travailler. J'avais dans la tête un drame bien intime, bien sombre, bien terrible, que je voulais faire passer de ma tête sur le papier.
Ce drame si terrible c'était le Capitaine Paul.
Mais je remarquai une chose: c'est que, pour le travail profond et assidu, il faut les chambres étroites, les murailles rapprochées, et le jour éteint par des rideaux de couleur sombre. Les vastes horizons, la mer infinie, les montagnes gigantesques, surtout lorsque tout cela est baigné de l'air pur et doré du Midi, tout cela vous mène droit à la contemplation, et rien mieux que la contemplation ne vous éloigne du travail.
Il en résulte qu'au lieu d'exécuter Paul Jones, je rêvais Don Juan de Marana.
La réalité tournait au rêve, et le drame à la métaphysique.
Je ne travaillais donc pas, du moins le jour.
Je contemplais, et je l'avoue, cette Méditerranée d'azur, avec ses paillettes d'or, ces montagnes gigantesques belles de leur terrible nudité, ce ciel profond et morne à force d'être limpide.
Tout cela me paraissait plus beau à voir que ce que j'aurais pu composer ne me paraissait curieux à lire.
Il est vrai que la nuit, quand je pouvais prendre sur moi de fermer mes volets aux rayons tentateurs de la lune; quand je pouvais détourner mes regards de ce ciel tout scintillant d'étoiles; quand je pouvais m'isoler avec ma propre pensée, je ressaisissais quelque empire sur moi-même. Mais, comme un miroir, mon esprit avait conservé un reflet de ses préoccupations de la journée, et, comme je l'ai dit, ce n'étaient plus des créatures humaines avec leurs passions terrestres qui m'apparaissaient, c'étaient de beaux anges qui, à l'ordre de Dieu, traversaient d'un coup d'aile ces espaces infinis; c'étaient des démons proscrits et railleurs, qui, assis sur quelque roche nue, mena?aient la terre; c'était enfin une ?uvre comme la Divine Comédie, comme le Paradis perdu ou comme Faust, qui demandait à éclore, et non plus une composition comme Angèle ou comme Antony.
Malheureusement je n'étais ni Dante, ni Milton, ni Go?the.
Puis, tout au contraire de Pénélope, le jour venait détruire le travail de la nuit.
Le matin arrivait. J'étais réveillé par un coup de canon. Je sautais en bas de mon lit.
J'ouvrais ma fenêtre, des torrens de lumière envahissaient ma chambre, chassant devant eux tous les pauvres fant?mes de mon insomnie, épouvantés de ce grand jour. Alors je voyais s'avancer majestueusement hors de rade quelque magnifique vaisseau à trois ponts, le Triton ou le Montebello, qui, juste devant ma villa, comme pour ma récréation particulière, venait faire man?uvrer son équipage ou exercer ses artilleurs.
Puis il y avait les jours de tempête, les jours où le ciel si pur se voilait de nuages sombres, où cette Méditerranée si azurée devenait couleur de cendre, où cette brise si douce se changeait en ouragan.
Alors le vaste miroir du ciel se ridait, cette surface si calme commen?ait à bouillir comme au feu de quelque fournaise souterraine. La houle se faisait vague, les vagues, se faisaient montagnes. La blonde et douce Amphitrite comme un géant révolté, semblait vouloir escalader le ciel, se tordant les bras dans les nuages, et hurlant de cette voix puissante qu'on n'oublie pas une fois qu'on l'a entendue.
Si bien que mon pauvre drame s'en allait de plus en plus en lambeaux.
Je déplorais un jour cette influence des objets extérieurs sur mon imagination devant le commandant du port, et je déclarais que j'étais tellement las de réagir contre ces impressions, que je m'avouais vaincu, et qu'à partir du lendemain j'étais parfaitement décidé, tout le temps que je resterais à Toulon, à ne plus faire que de la vie contemplative.
En conséquence, je lui demandai à qui je pourrais m'adresser pour louer une barque: une barque étant la première nécessité de la nouvelle existence que, dans sa victoire sur la matière, l'esprit me for?ait d'adopter.
Le commandant du port me répondit qu'il songerait à ma demande et qu'il aviserait à y satisfaire.
Le lendemain, en ouvrant ma fenêtre, j'aper?us à vingt pas au-dessus de moi, se balan?ant près du rivage, une charmante barque, pouvant marcher à la fois à la rame et à la voile, et montée par douze for?ats.
Je réfléchissais à part moi que c'était justement là une barque comme il m'en faudrait une, lorsque le garde-chiourme, m'apercevant, fit aborder le canot, sauta sur le rivage, et s'achemina vers la porte de ma bastide.
Je m'avan?ai au devant de l'honorable visiteur.
Il tira un billet de sa poche et me le remit.
Il était con?u en ces termes:
?Mon cher métaphysicien,
?Comme il ne faut pas détourner les po?tes de leur vocation, et que jusqu'à présent vous vous étiez, à ce qu'il para?t, mépris sur la v?tre, je vous envoie la barque demandée; vous pourrez, tout le temps que vous habiterez Toulon, en disposer depuis l'ouverture jusqu'à la fermeture du port.
?Si parfois vos yeux, lassés de contempler le ciel, tendaient à redescendre sur la terre, vous trouverez autour de vous douze gaillards qui vous ramèneront facilement, et par leur seule vue, de l'idéal à la réalité.
?Il va sans dire qu'il ne faut laisser tra?ner devant eux ni vos bijoux, ni votre argent.
?La chair est faible, comme vous savez, et comme un vieux proverbe dit a ?Qu'il ne faut pas tenter Dieu,? à plus forte raison ne faut-il pas tenter l'homme, surtout quand cet homme a déjà succombé à la tentation.
?Tout à vous.?
J'appelai Jadin, et je lui fis part de notre bonne fortune. A mon grand étonnement, il ne re?ut pas la communication avec l'enthousiasme auquel je m'attendais: la société dans laquelle nous allions vivre lui paraissait un peu mêlée.
Cependant, comme après un coup d'?il jeté sur notre équipage il aper?ut, sous les bonnets rouges dont elles étaient ornées, quelques têtes à caractère, il prit assez philosophiquement son parti, et, faisant signe à nos nouveaux serviteurs de ne pas bouger, il porta une chaise sur le rivage, et, prenant du papier et un crayon, il commen?a un croquis de la barque et de son terrible équipage.
En effet, ces douze hommes qui étaient là, calmes, doux, obéissans, attendant nos ordres et cherchant à les prévenir, avaient commis chacun un crime:
Les uns étaient des voleurs; les autres, des incendiaires; les autres, des meurtriers.
La justice humaine avait passé sur eux; c'étaient des êtres dégradés, flétris, retranchés du monde: ce n'étaient plus ces hommes, c'étaient des choses; ils n'avaient plus de noms, ils étaient des numéros.
Réunis, ils formaient un total: le total était cette chose infame qu'on appelle le bagne.
Décidément le commandant du port m'avait fait là un singulier cadeau.
Et cependant je n'étais pas faché de voir de près ces hommes, dont le titre seul, prononcé dans un salon, est une épouvante.
Je m'approchai d'eux, ils se levèrent tous et ?tèrent vivement leur bonnet.
Cette humilité me toucha.
-Mes amis, leur dis-je, vous savez que le commandant du port vous a mis à mon service pour tout le temps que je resterai à Toulon?
Aucun d'eux ne répondit, ni par un mot, ni par un geste.
On e?t dit que je parlais à des hommes de pierre.
?J'espère, continuai-je, que je serai content de vous; quant à vous, soyez tranquilles, vous serez contens de moi.?
Même silence.
Je compris que c'était une chose de discipline.
Je tirai de ma poche quelques pièces de monnaie, que je leur offris pour boire à ma santé, mais pas une seule main ne s'étendit pour les prendre.
-Il leur est défendu de rien recevoir, me dit le garde-chiourme.
-Et pourquoi cela? demandai-je.
-Ils ne peuvent avoir d'argent à eux.
-Mais vous, dis-je, ne pouvez-vous leur permettre de boire un verre de vin, en attendant que nous soyons prêts?
-Ah! pour cela, parfaitement.
-Eh bien! faites venir à déjeuner de la guinguette du Fort, je paierai.
-Je l'avais bien dit au commandant, fit le garde-chiourme en secouant d'un même mouvement la tête et les épaules, je l'avais bien dit que vous me les gateriez....
?Mais enfin, puisqu'ils sont à votre service, il faut bien qu'ils fassent ce que vous voulez....
?Allons, Gabriel.... un coup de pied jusqu'au fort Lamalgue.... Du pain, du vin et un morceau de fromage.
-Je suis au bagne pour travailler et non pour faire vos commissions, répondit celui auquel cet ordre était adressé.
-Ah! c'est juste, j'oubliais que tu es trop grand seigneur pour cela, monsieur le docteur; mais comme il s'agissait de ton déjeuner aussi bien que de celui des autres....
-J'ai mangé ma soupe, et je n'ai pas faim, répondit le for?at.
-Excusez....
?Eh bien! Rossignol ne sera cas si fier.... Va, Rossignol, va, mon fils.?
En effet, la prédiction du vénérable argousin se réalisa. Celui auquel il adressait la parole, et qui sans doute devait son nom à l'abus qu'il avait fait de l'instrument ingénieux à l'aide duquel on est parvenu à remplacer la clef absente, se leva, et tra?nant après lui son camarade, car, ainsi qu'on le sait, tout homme au bagne est rivé à un autre homme, il s'achemina vers le cabaret qui avait l'honneur de nous alimenter.
Pendant ce temps je jetai un coup d'?il sur le récalcitrant, dont la réponse médiocrement respectueuse n'amenait, à mon grand étonnement, aucune suite facheuse; mais il avait la tête tournée de l'autre c?té, et, comme il gardait cette position avec une persévérance qui semblait le résultat d'un parti pris, je ne pus le voir.
Cependant je le remarquai à ses cheveux blonds et à ses favoris roux.... Je rentrai dans la bastide en me promettant de l'examiner dans un autre moment.
J'avoue que la curiosité que j'éprouvais à l'endroit de mon répondeur me fit hater le déjeuner.
Je pressai Jadin, qui ne comprenait rien à mon impatience, et je revins au bord de la mer.
Nos nouveaux serviteurs n'étaient pas si avancés que nous. Du vin du fort Lamalgue, du pain blanc et du fromage formaient pour eux un extra auquel ils n'étaient point habitués, et ils prolongeaient leur repas en le savourant.
Rossignol et son compagnon surtout paraissaient apprécier au plus haut degré cette bonne fortune.
Ajoutons que le garde-chiourme, de son c?té, s'était humanisé au point de faire comme ses subordonnés: seulement ses subordonnés avaient une bouteille pour deux, tandis que lui avait deux bouteilles pour un.
Quant à celui que l'argousin avait désigné sous le nom poétique de Gabriel, sans doute son compagnon de boulet, qui n'avait pas voulu renoncer au repas, l'avait forcé de s'asseoir avec les autres; mais, toujours en proie à son accès de misanthropie, il les regardait dédaigneusement manger sans toucher à rien.
En m'apercevant, tous les for?ats se levèrent, quoique, comme je l'ai dit, leur repas ne f?t point achevé; mais je leur fis signe de finir ce qu'ils avaient si bien commencé, et que j'attendrais.
Il n'y avait plus moyen pour celui que je voulais voir d'éviter mes regards.
Je l'examinai donc tout à mon aise, quoiqu'il e?t évidemment rabattu son bonnet jusque sur ses yeux pour échapper à cet examen.
C'était un homme de vingt-huit à trente ans à peine; au contraire de ses voisins, sur la rude physionomie desquels il était facile de lire les passions qui les avaient conduits où ils étaient, lui avait un de ces visages effacés dont, à une certaine distance, on ne distingue aucun trait.
Sa barbe, qu'il avait laissé pousser dans tout son développement, mais qui était rare et d'une couleur fausse, ne parvenait pas même à donner à sa physionomie un caractère quelconque.
Ses yeux, d'un gris pale, erraient vaguement d'un objet à l'autre sans s'animer d'aucune expression; ses membres étaient grêles et semblaient n'avoir été destinés par la nature à aucun travail fatiguant; le corps auquel ils s'attachaient ne paraissait capable d'aucune énergie physique.
Enfin, des sept péchés capitaux qui recrutent sur la terre au nom de l'ennemi du genre humain, celui sous la bannière duquel il s'était enr?lé devait être évidemment la paresse.
J'eusse donc détourné bien vite mes regards de cet homme, qui, j'en étais certain, ne pouvait m'offrir pour étude qu'un criminel de second ordre, si un vague ressouvenir n'avait murmuré à ma mémoire que je ne voyais pas cet homme pour la première fois.
Malheureusement, comme je l'ai dit, c'était une de ces physionomies dans lesquelles rien ne frappe, et qui, à moins de raisons particulières, ne peuvent produire en passant devant nous aucune impression.
Tout en demeurant convaincu que j'avais déjà vu cet homme, ce que sa persistance à fuir mes regards me démontrait encore, il m'était donc impossible de me rappeler où et comment je l'avais vu.
Je m'approchai du garde-chiourme, et lui demandai le nom de celui de mes convives qui faisait si mal honneur à mon repas.
Il s'appelait Gabriel Lambert.
Ce nom n'aidait en rien à ma mémoire: c'était la première fois que je l'entendais prononcer.
Je crus que je m'étais trompé, et, comme Jadin apparaissait sur le seuil de notre villa, j'allai au-devant de lui.
Jadin apportait nos deux fusils, notre promenade n'ayant pas d'autre but ce jour-là que de faire la chasse aux oiseaux de mer.
J'échangeai quelques paroles avec Jadin; je lui recommandai d'examiner avec attention celui qui était l'objet de ma curiosité.
Mais Jadin ne se rappelait aucunement l'avoir vu, et, comme à moi, ce nom de Gabriel Lambert lui était parfaitement étranger.
Pendant ce temps nos for?ats venaient d'achever leur collation, et se levaient pour reprendre leur poste dans la barque; nous nous en approchames à notre tour.
Et comme, pour l'atteindre, il fallait sauter de rochers en rochers, le garde-chiourme fit un signe à ces malheureux, qui entrèrent dans la mer jusqu'aux genoux, afin de nous aider dans le trajet.
Mais je remarquai une chose, c'est qu'au lieu de nous offrir la main pour point d'appui, comme auraient fait des matelots ordinaires, ils nous présentaient le coude.
était-ce une consigne donnée d'avance?
était-ce dans cette humble conviction que leur main était indigne de toucher la main d'un honnête homme?
Quant à Gabriel Lambert, il était déjà dans la barque avec son compagnon, à son poste accoutumé, et tenant son aviron à la main.
* * *
This book contains the complete D'Artagnan novels in the chronological order of their original publication. - The Three Musketeers - Twenty Years After - The Vicomte of Bragelonne: Ten Years Later (which includes "The Vicomte of Bragelonne", "Louise de la Vallière" and "The Man in the Iron Mask") The D'Artagnan Romances are a set of three 19th-century novels by Alexandre Dumas, telling the story of the 17th-century musketeer D'Artagnan. In the English translations, the 269 chapters of the last novel (The Vicomte of Bragelonne: Ten Years Later) has been usually split into three, four, or five individual books. Our edition is faithful to the original text by not splitting the novel.
Alexandre Dumas "fils" was the illegitimate son of a Paris dressmaker and the renowned author of "The Three Musketeers." Dumas "pre" took him from his mother as a child (French law then allowed that), and gave the child a marvelous education at schools that included the Institution Goubaux and the Collge Bourbon — but he could not take from the child the memory of his mother. Dumas "fils" spent much of his life writing of the loss of her — in works like "Camille" and this novel, "The Son of Clemenceau." Alexandre Dumas "fils" died at Marly-le-Roi, Yvelines, on November 27, 1895; he is buried in the Cimetire de Montmartre in Paris.
In order to fulfill her grandfather's last wish, Stella entered into a hasty marriage with an ordinary man she had never met before. However, even after becoming husband and wife on paper, they each led separate lives, barely crossing paths. A year later, Stella returned to Seamarsh City, hoping to finally meet her mysterious husband. To her astonishment, he sent her a text message, unexpectedly pleading for a divorce without ever having met her in person. Gritting her teeth, Stella replied, "So be it. Let’s get a divorce!" Following that, Stella made a bold move and joined the Prosperity Group, where she became a public relations officer that worked directly for the company’s CEO, Matthew. The handsome and enigmatic CEO was already bound in matrimony, and was known to be unwaveringly devoted to his wife in private. Unbeknownst to Stella, her mysterious husband was actually her boss, in his alternate identity! Determined to focus on her career, Stella deliberately kept her distance from the CEO, although she couldn't help but notice his deliberate attempts to get close to her. As time went on, her elusive husband had a change of heart. He suddenly refused to proceed with the divorce. When would his alternate identity be uncovered? Amidst a tumultuous blend of deception and profound love, what destiny awaited them?
They don't know I'm a girl. They all look at me and see a boy. A prince. Their kind purchase humans like me for their lustful desires. And, when they stormed into our kingdom to buy my sister, I intervened to protect her. I made them take me too. The plan was to escape with my sister whenever we found a chance. How was I to know our prison would be the most fortified place in their kingdom? I was supposed to be on the sidelines. The one they had no real use for. The one they never meant to buy. But then, the most important person in their savage land-their ruthless beast king-took an interest in the "pretty little prince." How do we survive in this brutal kingdom, where everyone hates our kind and shows us no mercy? And how does someone, with a secret like mine, become a lust slave? . AUTHOR'S NOTE. This is a dark romance-dark, mature content. Highly rated 18+ Expect triggers, expect hardcore. If you're a seasoned reader of this genre, looking for something different, prepared to go in blindly not knowing what to expect at every turn, but eager to know more anyway, then dive in! . From the author of the international bestselling book: "The Alpha King's Hated Slave."
Rena got into an entanglement with a big shot when she was drunk one night. She needed Waylen's help while he was drawn to her youthful beauty. As such, what was supposed to be a one-night stand progressed into something serious. All was well until Rena discovered that Waylen's heart belonged to another woman. When his first love returned, he stopped coming home, leaving Rena all alone for many nights. She put up with it until she received a check and farewell note one day. Contrary to how Waylen expected her to react, Rena had a smile on her face as she bid him farewell. "It was fun while it lasted, Waylen. May our paths never cross. Have a nice life." But as fate would have it, their paths crossed again. This time, Rena had another man by her side. Waylen's eyes burned with jealousy. He spat, "How the hell did you move on? I thought you loved only me!" "Keyword, loved!" Rena flipped her hair back and retorted, "There are plenty of fish in the sea, Waylen. Besides, you were the one who asked for a breakup. Now, if you want to date me, you have to wait in line." The next day, Rena received a credit alert of billions and a diamond ring. Waylen appeared again, got down on one knee, and uttered, "May I cut in line, Rena? I still want you."
Darya spent three years loving Micah, worshipping the ground he walked on. Until his neglect and his family's abuse finally woke her up to the ugly truth-he doesn't love her. Never did, never will. To her, he is a hero, her knight in shining armour. To him, she is an opportunist, a gold digger who schemed her way into his life. Darya accepts the harsh reality, gathers the shattered pieces of her dignity, divorces him, takes back her real name, reclaims her title as the country's youngest billionaire heiress. Their paths cross again at a party. Micah watches his ex-wife sing like an angel, tear up the dance floor, then thwart a lecher with a roundhouse kick. He realises, belatedly, that she's exactly the kind of woman he'd want to marry, if only he had taken the trouble to get to know her. Micah acts promptly to win her back, but discovers she's now surrounded by eligible bachelors: high-powered CEO, genius biochemist, award-winning singer, reformed playboy. Worse, she makes it pretty clear that she's done with him. Micah gears up for an uphill battle. He must prove to her he's still worthy of her love before she falls for someone else. And time is running out.
Linsey was stood up by her groom to run off with another woman. Furious, she grabbed a random stranger and declared, "Let's get married!" She had acted on impulse, realizing too late that her new husband was the notorious rascal, Collin. The public laughed at her, and even her runaway ex offered to reconcile. But Linsey scoffed at him. "My husband and I are very much in love!" Everyone thought she was delusional. Then Collin was revealed to be the richest man in the world. In front of everyone, he got down on one knee and held up a stunning diamond ring. "I look forward to our forever, honey."
Joelle thought she could change Adrian's heart after three years of marriage, but she realized too late that it already belonged to another woman. "Give me a baby, and I'll set you free." The day Joelle went into labor, Adrian was traveling with his mistress on his private jet. "I don't care whom you love. My debt is paid. From now on, we have nothing to do with each other." Not long after Joelle left, Adrian found himself begging on his knees. "Please come back to me."